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DE SUISSE ROMANDE ET DU MONDE
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| 05 Septembre 2025
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centre pour l'action non-violente
Aperçu de nos services de formations
La Série vaudoise sur la non-violence, comme alternative à la violence
Nous avons besoin de votre soutien
Aux Institutions qui souhaitent prévenir et résoudre des conflits, en particulier les milieux de la formation, de l’éducation, de l’animation et de la santé
Une Association de mouvance gandhienne créée en 1968
La création du Centre aurait été impulsée par le Mouvement International de la Réconciliation (MIR), en particulier par Michel Grenier. Ce dernier a été le premier secrétaire du Centre Martin Luther King (CMLK) – devenu Centre pour l’action non-violente (CENAC) fin 2004. Les Amis de l’Arche de Lanza del Vasto, les Quakers, et l’Internationale des Résistants à la Guerre (IRG) ont dans tous les cas contribué à la constitution de l’Association, en 1968.
L’idée de donner au Centre le nom du pasteur noir Martin Luther King a germé au cours d’une marche silencieuse commémorant sa mort. Peu de temps auparavant, plusieurs personnes s’étaient réunies en vue de créer les base d’un centre pour promouvoir la non-violence (notamment Luc Francey, Daniel Schori, Marc Guignard, Daniel Pache, Georges Kobi et André Jufer).
En l’absence de l’assassinat Luther King, l’Association aurait aussi pu prendre, dès sa création, le nom de Centre gandhien ou Centre pour la non-violence.
Dans un premier temps, l’objection de conscience, vis-à-vis de l’armée, constitue le centre d’intérêt du CMLK/CENAC :
C’est à la fin des année septante que l’antimilitarisme a peu à peu été abandonné, au profit d’une non-violence «multidirectionnelle» : le Centre de documentation prend véritablement forme et la formation à la non-violence devient centrale.
Le Centre fonde ses origines d’abord sur une mouvance gandhienne, car pour l’Association :
Cette perception n’enferme pas la non-violence dans la contestation. Au contraire, elle pose les jalons de la société qu’elle veut édifier. Le « Manifeste pour une alternative non-violente », adopté en 1982 par l’Assemblée générale de la Fédération romande des mouvements non-violents, constitue un exemple concret de la mouvance gandhienne.
En outre, Ghandi, tout comme le CENAC, considèrent avant tout la non-violence comme une dynamique. Celle-ci permet de vivre les conflits comme des occasions de construire des relations plus justes et plus équilibrées, d’utiliser la combativité pour progresser dans la vie, sans blesser, ni se laisser piétiner
Martin Luther King, pour défendre les droits civiques des Noir-e-x-s aux Etats-Unis, s’est largement inspiré des apports de Gandhi.
Deux supports, retraçant les actions du CENAC, ont été édités :
Les cahiers des « 35 ans du CMLK» retracent les moments forts de l’activité du CENAC par le biais de témoignages
La brochure « 1968-2008 Quarante ans d’action non-violente en Romandie » illustre sous forme de brèves et d’illustrations les dates clés du CENAC.
Par décision de l’Assemblée générale le Centre Martin Luther King (CMLK) a changé de nom pour devenir le Centre pour l’action non-violente (CENAC).
La référence à Martin Luther King, courageuse et justifiée lorsque fut créée l’Association en 1968, était devenue source de confusion : de nombreuses personnes prêtaient a priori à l’Association une orientation religieuse, ou des préoccupations spécifiquement antiracistes, alors que la promotion de la non-violence active est la vraie raison d’être d’une association qui se veut laïque.
Le CENAC est une Association à but non lucratif, reconnue d’utilité publique. Elle vit principalement des cotisations de ses membres, du soutien de Fondations et de dons.
Des recherches de fonds sont également effectuées pour des projets.
Pour la plupart de ses activités, le CENAC est organisé en groupe de travail. Une douzaine de bénévoles, dont les membres du Comité, en assurent la bonne marche. S’ajoutent plusieurs volontaires pour des actions et des coups de mains ponctuels. L’Assemblée générale est l’organe décisionnel.
Voir les statuts de l’association et la charte des bénévoles.
Pour contribuer à faire vivre le CENAC et la non-violence en Suisse romande, par une contribution financière ou bénévole, voir notre rubrique “S’engager”.
Journaliste et auteur
Au Comité depuis 2023
Philosophe (UNIL)
Au Comité depuis 2023
Avocat & ancien Conseiller aux Etats (2007-2015)
Au Comité depuis 2017
Facilitateur de groupe indépendant et membre du Collectif des formatrices et formateurs du CENAC
Au Comité depuis 2017
Economiste de formation
Communication et coordination des formations et ateliers
Cheffe de projet Antidote
Au Comité depuis 2022
Membre du Collectif des formatrices et formateurs du CENAC depuis les années 1980
Au Comité depuis 2014
Au Comité depuis
Ancien Conseiller national (2007-2015)
Au Comité depuis 2014
Psychiatre (UNIL)
Au Comité depuis 2023
Le CENAC met 55 ans d’expérience dans la formation à la non-violence à votre service. Nous vous proposons des ateliers adaptés à vos besoins pour développer et approfondir toute thématique liée à la non-violence.
Comment prévenir la violence ?
Comment résoudre un conflit efficacement ?
Comment agir face aux discriminations et à l’injustice ?
Les formations se présentent sous la forme d’ateliers d’expérimentation : les animateurs et les animatrices recourent à des méthodes de travail participatives (jeux de rôle, exercices, travail de groupe, jeux symboliques, théâtre forum, théâtre images, etc.).
Un investissement personnel des participant-e-s est attendu, car les expériences concrètes sont des éléments essentiels de ces ateliers.
Le CENAC propose des ateliers à la carte en français et en anglais adaptés à des groupes provenant d’horizons variés.
Nous intervenons, par exemple, auprès :
de centres d’animation ou d’administration qui désirent faire face à des conflits ou des phénomènes de violence
d’ONG qui organisent pour leurs volontaires des formations continues à la conduite de réunion ou à la prise de décision par consensus, entre autres
d’établissements scolaires où des enseignantes et des enseignants sont agressé-e-s ou des élèves harcelé-e-s
d’entreprises afin d’établir des relations de travail exemptes de jeux de pouvoir, etc.
Vous pouvez prendre contact avec le CENAC à : admin@non-violence.ch et nous développerons ensemble un cours sur mesure, selon votre situation et vos attentes.
Vous pouvez même vous inspirer des modules existants pour définir votre demande.
Les ateliers de résolution non-violente des conflits proposés par le Centre pour l’action non-violente sont ouverts à toute personne intéressée à se familiariser avec la non-violence comme attitude dans laquelle s’exprime un positionnement éthique et une conscience de ses responsabilités envers elle-même, Autrui et le monde, en général. Elle permet ainsi de s’interroger, d’expérimenter ensemble et d’aborder la non-violence par des expériences vécues. Elle vise à ce que chacun, chacune se réapproprie et réinvente un engagement relationnel et social responsable, l’approche individuelle s’ouvrant de cette manière sur le collectif.
La date de la prochaine formation individuelle vous sera communiquée ultérieurement.
Des formatrices et formateurs, fort-e-s d’une solide expérience de terrain local et international, assurent les ateliers du CENAC dans l’ensemble de la Suisse romande.
Ces personnes apportent compétences et savoir-être dans les thématiques abordées et en matière d’animation, sans pour autant prendre une posture d’expert-e-s. En effet, nous estimons que chaque participant-e porte au fond de lui ou d’elle d’irremplaçables éléments de compréhension qui appellent – autant que les nôtres – écoute et respect.
Liste non-exhaustive des formatrices et des formateurs CENAC :
François Beffa
Rolf Keller
Michel Monod
Marie-Jo Nanchen
Jérémie Schaeli
Fernand Veuthey
Vincent Artison
Laure Faget
Guénola Ricard
Sophie Perraudin
Publié le : 16 Décembre 2024
Edité le : 22 Juillet 2025
par "Comité du CENAC"
Le 9 décembre 2024, l’Office fédéral du service civil a mis en service sa nouvelle application métier. Baptisée ZiviConnect, l’application relie les établissements d’affectation, les civilistes et les autorités, permettant ainsi une collaboration simple et efficace entre ses quelque 30 000 utilisateurs.
ZiviConnect relie les établissements d’affectation, les civilistes, les partenaires et l’Office fédéral du service civil (CIVI).
L'ALTERNATIVE A LA VIOLENCE PAR LE CENAC
Un projet conçu pour prévenir la violence parmi les jeunes. Et visant à rassembler les adolescent-e-x-s autour de l’idée de la communication non-violente, en les impliquant directement dans la création artistique et narrative.
Avec l’appui des professeurs d’art visuel ou passionnés de cinéma et de photo,
réaliser des vidéos de romans-photos audio, sur la violence au sein de la jeunesse vaudoise.
Ces productions audiovisuelles, regroupées en Saison (année scolaire), constitueraient des archives vaudoises sur la violence au sein de sa jeunesse
En Suisse, un pourcentage alarmant de jeunes, soit entre 6 à 10%, subissent des violences durant leur parcours scolaire ; le phénomène s’avère non moins prégnant chez nos voisins, comme le montre l’actualité en France. Ces expériences traumatisantes peuvent avoir des répercussions à long terme, y compris des issues aussi graves que le suicide. La fréquence de ces incidents est probablement sous-estimée en raison de la peur des représailles, typique de ces situations.
"Antidote" est un projet conçu pour prévenir la violence parmi les jeunes en utilisant la puissance de la narration et du cinéma. Il vise à rassembler les adolescent-e-s autour de l'idée de la communication non-violente, en les impliquant directement dans la création artistique et narrative où l’écriture cinématographique joue un rôle majeur.
Le projet s'articule autour d'ateliers participatifs organisés sur un semestre où 12 jeunes, sélectionné-e-s de manière à respecter la parité des genres, seront guidé-ex.s pour écrire et réaliser leur roman-photos audio. Le sujet central de ces films sera la non-violence, comme alternative à la violence.
Le CENAC a, quant à elle, une expérience de plus de cinquante ans dans la sensibilisation publique à la non-violence. Ainsi ses formateurs et ses formatrices offriront-ils des ateliers d’initiation à la non-violence.
Antoine Jaccoud, scénariste lausannois dont la réputation n’est plus à faire et qui nous a fait l’honneur d’accepter le rôle de conseiller artistique pour la Série Antidote. Son expérience d’enseignant, dans les grandes écoles du cinéma de ce monde, est un trésor pour Antidote.
Cheffe de projet, Nathalie Caruel, ancienne productrice de cinéma, est à même de suivre toutes les étapes de ce projet qui se déroulera sur une année scolaire.
Les auteur-trice-s de ce projet envisagent de l'implanter durablement dans le paysage éducatif vaudois, avec l'objectif de produire une première saison de trois épisodes sur une durée de trois années scolaires. Chaque vidéo, bien que narrativement autonome, abordera le thème de la non-violence, comme alternatice à la violence, sous différents angles, reflétant le spectre complet de cette problématique.
Au-delà de la création artistique, "Antidote" a pour ambition de sensibiliser les jeunes aux enjeux de la violence scolaire et de les outiller pour communiquer autrement, que ce soit en tant que victimes, témoins ou auteur-trices. Le projet vise à encourager la réflexion, la discussion et le développement de solutions créatives face à la violence.
La Série "Antidote" - Saison 2026 sera présentée lors d'une projection publique en juin 2026, offrant une plateforme de visibilité́ importante pour les travaux des jeunes et pour sensibiliser un public plus large aux questions de non-violence dans le milieu scolaire.
"Antidote" comme une pause sur image émotionnelle, est un projet éducatif et créatif qui utilise le médium du roman-photo audio pour traiter d’un problème social crucial, tout en favorisant l'expression, la collaboration et l'éducation des jeunes autour des valeurs de respect et de non-violence.
En devenant membre du Centre pour l’action non-violente (CENAC),
vous soutenez la diffusion de la non-violence dans la région romande et nous permettez de développer nos activités.
Merci !
CENAC – Lausanne
CCP 10-22368-6
IBAN CH95 0900 0000 1002 2368 6
Mention “Membres”
Chaque don, quel que soit son montant, est important. Votre don contribue à promouvoir la non-violence en Suisse romande, à garantir la qualité de nos prestations et à reconnaître notre travail. Toute l’équipe du Centre pour l’action non-violente (CENAC) vous en est reconnaissante.
Contribuer à faire vivre la non-violence c’est… C’est permettre à des parents, des jeunes, aux milieux socio-éducatifs :
Centre pour l’action non-violente (CENAC)
Rue de Genève 52, 1004 Lausanne
CCP 10-22368-6
Mention « Don »
IBAN : CH9509000000100223686
Les contribuables peuvent déduire de leur revenu imposable tout ou partie des dons versés à des institutions poursuivant un but d’utilité publique. Se renseigner auprès de l’administration fiscale concernée.