© 1968 - 2025

S'engager
Agir au plus près de sa conscience!


Devenez membre du CENAC

En devenant membre du Centre pour l’action non-violente (CENAC), vous soutenez la diffusion de la non-violence dans la région romande et nous permettez de développer nos activités.

Merci !

Cotisation Individuelle
Pour une année civile

CHF 70.-
CHF 40.- pour les petits budgets.
Cotisation Familiale
Pour une année civile

CHF 110.-
CHF 55.- pour les petits budgets.
Le montant de la cotisation
doit être versée à

CENAC – Lausanne
CCP 10-22368-6
IBAN CH95 0900 0000 1002 2368 6
Mention “Membres”



Devenir bénévole

Vous souhaitez contribuer à la promotion de la non-violence ? Rejoignez notre équipe de bénévoles !

En contrepartie, le Centre pour l’action non-violente (CENAC) vous propose :

  • Un accueil et son expertise en non-violence
  • Une formation en adéquation avec votre engagement
  • Un libre accès à notre service de prêt
  • Une rencontre annuelle des bénévoles
  • Le CENAC fournit également une charte des bénévoles et une sélection d’ouvrages de base sur la non-violence.

Faire un don
Pour faire vivre la non-violence en Suisse romande, chaque franc compte !


Chaque don, quel que soit son montant, est important. Votre don contribue à promouvoir la non-violence en Suisse romande, à garantir la qualité de nos prestations et à reconnaître notre travail.

Toute l’équipe du Centre pour l’action non-violente (CENAC) vous en est reconnaissante.

Contribuer à faire vivre la non-violence c’est… C’est permettre à des parents, des jeunes, aux milieux socio-éducatifs :

  • de s’exprimer en “je” qui responsabilise plutôt qu’en “tu” qui agresse,
  • de s’affirmer et d’écouter vraiment,
  • d’envisager des solutions constructives aux actes de violences.
  • C’est permettre au Centre pour l’action non-violente (CENAC) :
  • de mettre à disposition du public une bibliothèque et un service de prêt,
  • de développer des outils pédagogiques,
  • d’avoir une vision critique à l’égard des phénomènes de violence.
  • C’est permettre à tout le monde d’agir pour un monde plus juste, respectueux des individus et de l’environnement.

PAR BULLETIN DE VERSEMENT

Centre pour l’action non-violente (CENAC)
Rue de Genève 52, 1004 Lausanne
CCP 10-22368-6
Mention « Don »


PAR UN PAIEMENT ÉLECTRONIQUE

IBAN : CH9509000000100223686

Vos dons sont déductibles de vos impôts
Le CENAC est reconnu d’utilité publique.

Les contribuables peuvent déduire de leur revenu imposable tout ou partie des dons versés à des institutions poursuivant un but d’utilité publique. Se renseigner auprès de l’administration fiscale concernée.

Participer à une action

En tant que moyen de résolution des conflits, la non-violence est un outil de luttes sociales et politiques. Actuellement, le CENAC n’est pas mobilisé dans une lutte non-violente, nous vous invitons néanmoins à :

Consolider ou lancer une action non-violente

Si vous souhaitez lancer ou consolider une action non-violente, vous pouvez envisager de :


L’action directe non-violente – Quésako ?

L'”action directe” consiste, pour les individus, à exercer directement leur pouvoir de citoyen dans les affaires de la cité en intervenant sur la place publique, sans passer par l’intermédiaire des institutions sociales et politiques. Ainsi, on misera, pour obtenir des changements dans la société, d’avantage sur l’action de rue que sur le bulletin de vote. La théorie de l’action directe se fonde sur une critique du fonctionnement habituel de la démocratie “formelle” qui ne permettrait que rarement aux citoyen-nes de faire vraiment entendre leur voix, d’avoir prise sur la réalité et de participer aux prises de décisions engageant l’avenir de la cité. Par le vote, le-la citoyenne délègue son pouvoir, il-elle ne l’exerce pas.

Le suffrage universel est l’un des éléments constitutifs de la démocratie. Il n’y a pas de démocratie sans élections libres. Elles permettent à une société de se protéger contre la dérive, toujours possible, vers un régime totalitaire. Cependant, des élections libres ne suffisent pas à garantir la démocratie de participation. Il convient de reconnaître les limites et les insuffisances du suffrage universel. Lorsque des dirigeants politiques ont été démocratiquement élus, leurs décisions sont certes légales, mais ce n’est pas pour autant qu’elles sont légitimes. Si les citoyens ont des raisons majeures pour les désapprouver, ils n’ont pas à attendre les prochaines élections pour le dire haut et fort. De même, ce n’est pas parce qu’il émane d’une majorité qu’un choix est forcément juste. Ceux qui le contestent n’ont donc pas à s’y rallier pour la seule raison qu’ils se trouvent minoritaires. Certes, il leur appartient d’oeuvrer pour un changement de majorité mais, précisément pour cela, ils ne sauraient se cantonner dans l’attente inactive des prochaines élections. Il leur faut agir directement pour interpeller l’opinion et les pouvoir-publics en dénonçant les injustices du désordre établi et en exigeant que justice soit rendue à ceux qui en sont les victimes. L’action directe des citoyens est non seulement légitime, mais elle est nécessaire à la respiration même de la démocratie.

Les plaidoyers en faveur de l’action directe se sont souvent identifiés à une apologie de l’action violente. Divers groupes d’action directe ont recouru à la violence armée non seulement pour combattre la “démocratie bourgeoise”, mais pour “l’abattre”. Ce qu’ils ne pouvaient attendre des élections, ils voulaient l’accomplir par la révolution; et celle-ci exigeait de recourir à la violence. Mais la violence isole la révolution. Son efficacité est surtout de renforcer les systèmes répressifs des pouvoirs établis. De fait, elle s’avère incapable de changer le désordre établi. Au-delà des impasses auxquelles on aboutit en agissant seulement dans le cadre des institutions de la démocratie parlementaire, et au-delà des contradictions dans lesquelles on s’enfermerait en agissant par la violence, l’action directe non-violente, dès lors qu’elle est organisée collectivement, peut permettre de s’opposer efficacement aux abus des pouvoirs établis, de combattre les injustices sociales et de réaliser les changements nécessaires.

L’action directe non-violente peut être légale ou illégale, selon les dispositions de la loi en vigueur qui au demeurant sont changeantes par nature. Ainsi le simple fait de distribuer un tract sur la place publique peut se faire soit en conformité avec la loi, soit en violation de celle-ci. Mais l’action illégale peut être légitime, car l’exigence de la justice doit être plus forte que la crainte de la loi.

Pour consolider son action, le CENAC a besoin de contributions financières durables

Les souscripteurs et souscriptrices soutiennent les activités du Centre pour l’action non-violente (CENAC) par un montant annuel versé en plusieurs versements.

Grâce à votre souscription :

  • Vous devenez automatiquement membre du CENAC
  • Vous accédez gratuitement à notre centre de documentation;
  • Vous bénéficiez d’une réduction sur notre programme de formation;
  • Vous recevez également notre rapport d’activité, les documents publiés à l’attention du grand public et une invitation personnalisée lorsque nous organisons un événement particulier.

Nous avons besoin de soutiens financiers durables pour promouvoir la non-violence en Suisse romande. Votre engagement est indispensable. Merci !

COMMENT DEVENIR SOUSCRIPTEUR OU SOUSCRIPTRICE ?

Pour devenir souscripteur ou souscriptrice du CENAC, nous vous laissons le soin de remplir le formulaire ci-dessous ou de contacter notre secrétariat.

Toute notre équipe vous remercie d’ores et déjà de votre soutien.